JOURNÉE
INTERNATIONALE des
droits de l'enfant
Faites un don
© UNHCR - Georgina Goodwin
© UNHCR - Georgina Goodwin
© UNHCR - Georgina Goodwin
© UNHCR - Georgina Goodwin
© UNHCR — Jordi Matas

Les enfants réfugiés
sont des enfants
avant tout.

Voir les portraits
Aidez-nous à les protéger
Faites un don

Plus de la moitié des réfugiés dans le monde sont des enfants, des millions d’entre eux vivent encore dans des camps de réfugiés. Les enfants déracinés sont des enfants avant tout. Quelles que soient les circonstances, en exil, seuls ou séparés de leur famille, les enfants réfugiés, ils doivent être protégés.

Jinuara

Jinuara, 11 ans*

Lire le portrait
Jinuara a pu étudier pendant un an au Myanmar, avant que l’armée ne rende trop difficile l’accès à l’école pour les enfants rohingyas. Depuis qu’elle vit dans le camp de réfugiés de Kutupalong, elle a soif d’éducation et rêve de pouvoir construire son avenir en étudiant mais il n’existe malheureusement pas encore d’école dans cette partie du camp.
© UNHCR — Roger-Arnold
John

John, 13 ans*

Lire le portrait
John est un réfugié sud-soudanais en Ouganda. Il a la chance de pouvoir aller à l’école dans le camp de réfugiés informel dans lequel il vit désormais. Avec l’avenir d’une génération d’enfants sud-soudanais en jeu et peu de perspectives de résolution rapide du conflit, il est primordial d’investir dans l’avenir des enfants réfugiés. L’éducation peut jouer un rôle essentiel pour bâtir la paix.
© UNHCR — Roger Arnold
Arwa

Arwa, 5 ans*

Lire le portrait
Arwa, est une réfugiée syrienne qui vit dans le camp de Zaatari, en Jordanie. Après avoir fui les violences de la guerre, sa famille s’est réfugiée dans ce camp, où 85 000 personnes cohabitent. Elle tente de se reconstruire un foyer et rêve d’un avenir en paix. Après des années d’exil, ces familles ont souvent épuisé toutes leurs économies et la grande majorité vit sous le seuil de pauvreté.
© UNHCR — David Azia
Maimuna

Maimuna, 8 ans*

Lire le portrait
Maimuna a 8 ans mais malgré son jeune âge, elle doit ramasser du bois en lisière de la forêt près du camp de réfugiés de Kutupalong. Beaucoup de jeunes filles rohingyas ne sont ainsi pas scolarisées, contraintes d’aider leur famille dans les tâches quotidiennes. Le HCR aide à trouver des solutions alternatives, comme par exemple la distribution de billes de riz comprimé.
© UNHCR — Roger Arnold
Hajar

Hajar, 3 ans*

Lire le portrait
Hajar est une réfugiée syrienne de 3 ans et demi. Elle se tient sur le seuil de l’abri qu’elle partage avec sa famille dans un camp de réfugiés en Jordanie. Les familles comme la sienne, parfois déjà désespérées et rendues vulnérables par des années de guerre et d’exil, doivent affronter les changements de saison et lutter contre la rudesse de l’hiver ou les fortes chaleurs de l’été.
© UNHCR — David Azia
Kalema

Kalema, 10 ans*

Lire le portrait
Kalema, jeune fille rohingya de 10 ans, regarde à travers la clôture d’une école, que sa famille et d’autres occupent comme abri temporaire dans le camp de Nayapara au Bangladesh. Venus à pied et en bateau, des centaines de milliers de Rohingyas ont marché pendant des jours, à travers de vastes rizières, pour sauver leur vie et venir se réfugier au Bangladesh, abandonnant tout derrière eux.
© UNHCR — Paula Bronstein
Rifa

Rifa, 8 ans*

Lire le portrait
Rifa a pu avoir accès à un espace sûr et dédié aux enfants, dans l’extension du camp de Kutupalong. Des jeunes réfugiés font des exercices thérapeutiques, leur permettant de se remémorer la fuite de leur village et de travailler à guérir leurs traumatismes. Parmi les Rohingyas qui ont fui vers le Bangladesh, des jeunes mères, des enfants isolés sont arrivés choqués, affamés, épuisés ou malades.
© UNHCR — Roger Arnold
Yasmin

Yasmin, 11 ans*

Lire le portrait
Yasmin vit dans un camp de réfugiés au Bangladesh, où des milliers de Rohingyas ont dû fuir les violences au Myanmar. Orpheline, Yasmine a été recueillie par une autre famille. Très attachée à l’école, elle garde l’espoir d’un avenir meilleur. L’accès à l’éducation est souvent difficile pour les filles rohingyas à cause des pressions sociales, des mariages précoces et du manque d’infrastructures.
© UNHCR — Roger Arnold
Yasmin

Yasmin, 11 ans*

Lire le portrait
Yasmin vit dans un camp de réfugiés au Bangladesh, où des milliers de Rohingyas ont dû fuir les violences au Myanmar. Orpheline, Yasmin a été recueillie par une autre famille. Très attachée à l’école, elle garde l’espoir d’un avenir meilleur. L’accès à l’éducation est souvent difficile pour les filles rohingyas à cause des pressions sociales, des mariages précoces et du manque d’infrastructures.
© UNHCR — Roger Arnold
Arwa

Arwa, 5 ans*

Lire le portrait
Arwa, est une réfugiée syrienne qui vit dans le camp de Zaatari, en Jordanie. Après avoir fui les violences de la guerre, sa famille s’est réfugiée dans ce camp, où 85 000 personnes cohabitent. Elle tente de se reconstruire un foyer et rêve d’un avenir en paix. Après des années d’exil, ces familles ont souvent épuisé toutes leurs économies et la grande majorité vit sous le seuil de pauvreté.
© UNHCR — David Azia
Maimuna

Maimuna, 8 ans*

Lire le portrait
Maimuna a 8 ans mais malgré son jeune âge, elle doit ramasser du bois en lisière de la forêt près du camp de réfugiés de Kutupalong. Beaucoup de jeunes filles rohingyas ne sont ainsi pas scolarisées, contraintes d’aider leur famille dans les tâches quotidiennes. Le HCR aide à trouver des solutions alternatives, comme par exemple la distribution de billes de riz comprimé.
© UNHCR — Roger Arnold
Hajar

Hajar, 3 ans*

Lire le portrait
Hajar est une réfugiée syrienne de 3 ans et demi. Elle se tient sur le seuil de l’abri qu’elle partage avec sa famille dans un camp de réfugiés en Jordanie. Les familles comme la sienne, parfois déjà désespérées et rendues vulnérables par des années de guerre et d’exil, doivent affronter les changements de saison et lutter contre la rudesse de l’hiver ou les fortes chaleurs de l’été.
© UNHCR — David Azia
Kalema

Kalema, 10 ans*

Lire le portrait
Kalema, jeune fille rohingya de 10 ans, regarde à travers la clôture d’une école, que sa famille et d’autres occupent comme abri temporaire dans le camp de Nayapara au Bangladesh. Venus à pied et en bateau, des centaines de milliers de Rohingyas ont marché pendant des jours, à travers de vastes rizières, pour sauver leur vie et venir se réfugier au Bangladesh, abandonnant tout derrière eux.
© UNHCR — Paula Bronstein
Rifa

Rifa, 8 ans*

Lire le portrait
Rifa a pu avoir accès à un espace sûr et dédié aux enfants, dans l’extension du camp de Kutupalong. Des jeunes réfugiés font des exercices thérapeutiques, leur permettant de se remémorer la fuite de leur village et de travailler à guérir leurs traumatismes. Parmi les Rohingyas qui ont fui vers le Bangladesh, des jeunes mères, des enfants isolés sont arrivés choqués, affamés, épuisés ou malades.
© UNHCR — Roger Arnold
Jinuara

Jinuara, 11 ans*

Lire le portrait
Jinuara a pu étudier pendant un an au Myanmar, avant que l’armée ne rende trop difficile l’accès à l’école pour les enfants rohingyas. Depuis qu’elle vit dans le camp de réfugiés de Kutupalong, elle a soif d’éducation et rêve de pouvoir construire son avenir en étudiant mais il n’existe malheureusement pas encore d’école dans cette partie du camp.
© UNHCR — Roger-Arnold
Les enfants réfugiés
sont des enfants
avant tout.

Fuyant les guerres, les conflits ou les persécutions, les enfants subissent des traumatismes et sont exposés à des dangers qu’aucun enfant ne devrait affronter. Vulnérables face aux violences et aux abus, au travail forcé et à l’exploitation, trop souvent privés d’éducation et des chances de se construire un avenir meilleur, nombre d’enfants déracinés vivent dans des conditions indignes.


À l’occasion du 30ème anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant, mobilisons-nous pour garantir la protection des enfants réfugiés à travers le monde.


Par votre don, aidez-nous à faire respecter les droits de ces enfants :

  • Protéger les enfants réfugiés contre toute forme de violence
  • Donner aux filles et aux garçons accès à l’éducation
  • Trouver des alternatives aux camps par des solutions durables.
Protégeons-les !
Parce qu’aucun enfant ne devrait être privé de ses droits les plus fondamentaux, nous avons plus que jamais besoin de votre soutien pour les protéger en tant qu’enfants, sans discrimination.
Faites un don
Si vous êtes redevable de l’impôt sur le revenu, votre don vous ouvre droit à une réduction fiscale de 75% dans la limite de 20% de votre revenu imposable.
Par exemple, un don de 100 € ne vous revient en
réalité qu'à 25 € après déduction fiscale de 75%. Par exemple, un don de 100 € ne vous
revient en réalité qu'à 25 € après déduction fiscale de 75%.

Les réfugiés dans le monde :
une situation sans précédent

70,8M 

70,8 millions de personnes
déplacées de force
(68,5 millions fin 2017).

1/2 

Une personne réfugiée
sur deux
est un
enfant.

24% 

Seuls 24% des
enfants réfugiés ont
accès
à l’éducation secondaire.

Sources:
Rapport Tendances mondiales, UNHCR, 2019
Redoubler d’efforts : L’éducation des réfugiés en crise, UNHCR, 2019
© UNHCR - Antwan Chnkdji

Grâce à vous,
le HCR agit sur
le terrain

Créé au lendemain de la 2nde Guerre mondiale pour venir en aide aux populations déplacées, le HCR est mandaté par la communauté internationale pour la protection des réfugiés. Il agit dans l’urgence mais aussi à la recherche de solutions durables, dans 134 pays. Uniquement financé par des contributions volontaires, le HCR compte sur le soutien de chacun pour venir en aide aux plus vulnérables et défendre l’intérêt des enfants déplacés.

Urgence

Abris

Protection

Education

Santé

Nutrition

Eau

Réinstallation

*Pour des raisons de protection, certaines informations, comme le nom des enfants, ont été modifiées.